Sa voix enfantine rappelle Angèle et sa fulgurante notoriété celles de Zao de Sagazan. Pourtant Miki a sa propre direction artistique : une franco-coréenne addict au digital qui voit sa vie comme les pages d’une bande dessinée. Ces titres sont autant de vignettes d’un journal intime sans concession parfois naïves, parfois violentes.
Ici, ce sont des mots sans tabou qui guident sa musique ou juste des syllabes scandées qu’elle mixe avec des sons du quotidien. En t-shirt XXL et chaussettes, Miki vous accueille dans sa chambre, c’est un peu désordre mais il faudra vous y faire, elle n’a pas prévu de ranger !