Sprints débarque et n’a pas le temps de faire dans la dentelle. “Soyez tristes et en colère, mais faites-en quelque chose en dansant”, clame la chanteuse Karla Chubb, pour qui la musique est un exutoire.
À travers un garage punk situé quelque part entre Pixies, King Gizzard et IDLES, les Irlandais·es donnent un grand coup de pied à la misogynie et dénoncent les inégalités entre hommes et femmes. En somme, Sprints délivre une musique cathartique où les riffs de guitare apportent un défoulement salvateur. De quoi ravir les festivalier·ères en quête de pogo !