Alma, le dernier album du collectif parisien Contrefaçon pourrait être un épisode de la série Black Mirror. Dans une société ultra sécuritaire, l’Autorité de Législation de la Musique Artificielle (ALMA) exerce une domination totale sur la création musicale. Seule l’IA est autorisée à composer. Face aux productions clandestines, la répression policière est sévère : les pianos sont réduits en cendres, les guitares brisées et les disques confisqués. Cet album-concept dépeint une dystopie glaçante enrobée de sonorités electronica, breakbeat, pop et acid. La révolte du dancefloor est en marche, préparez-vous à l’émeute !